Les Passagères
Du 1er juillet au 3 septembre 2023
jardins ouverts, 7e édition
Du 1er juillet jusqu'au 3 septembre 2023, à l'occasion du festival jardins ouverts organisé par la région Ile-de-France dans le cadre de l'opération « Mon été, ma région », le département des Hauts-de-Seine invite les artistes Rieko Koga et Frédérique Petit au musée départemental Albert-Kahn. L’exposition Les Passagères présente une sélection de leurs travaux et des œuvres inédites.
Le dialogue entre les formes inspirées du végétal réalisées dans des matériaux bruts (fer, béton) de Frédérique Petit et les créations aériennes de Rieko Koga, entre Orient et Occident, invite les visiteurs à redécouvrir le jardin à scènes paysagères du musée.
Depuis 2017, la Région Île-de-France organise la manifestation Jardins ouverts sur l’ensemble du territoire francilien. Les lieux participants sont invités à proposer une programmation culturelle et artistique permettant de valoriser le patrimoine naturel du territoire tout en faisant découvrir ces lieux sous un nouveau regard.
En 2020, le musée a participé pour la première fois à cette manifestation en exposant l’œuvre de la céramiste Murielle Joubert.
Programmation associée :
Samedi 1er juillet à 14h avec Rieko Koga
Dimanche 27 aoùt à 16h30 avec Frédérique Petit
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(Le billet inclut l'entrée au musée)
Les artistes
Rieko Koga
Installée en France depuis 1993, Rieko Koga est une artiste plasticienne japonaise. Après des études dans la mode à Tokyo puis à Paris, elle s’oriente vers les arts plastiques en 2004. Brodant au fil de son inspiration, Rieko Koga improvise, créant des œuvres directement sur la toile, se laissant guider par le mouvement de ses mains. Pour elle, l’acte de coudre est une prière. Ses œuvres sont imprégnées de vœux enfouis à l’intérieur des coutures, destinés à tous. Son travail possède une dimension participative, elle invite régulièrement les visiteurs à intervenir directement sur ses œuvres et à y déposer une part de leur intime.
Frédérique Petit
De la broderie au tressage, la plasticienne Frédérique Petit explore des matières et des univers très différents. La notion de temps et de rythme est primordiale dans son travail. L’artiste se dit être à la recherche du « rythme parfait » et privilégie davantage le sensible à la technique dans son processus créatif.
À partir de 2013, la sculptrice travaille le fil de métal pour construire des grands nids, des huttes et des cocons qui interrogent, avec leur rudesse, la fragilité et la beauté de la nature à l’état brut. Ses sculptures jouent ainsi avec les frontières entre contenant et contenu, entre visible et invisible.
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Quelques œuvres
